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En se posant un instant, afin d’observer le monde, notre petite planète bleue où plus de 7 milliards d’humains mêlent leurs vies, en empruntant différents chemins, mais dans un but commun, celui de trouver le bonheur, le bien-être. Mais qu’est-ce vraiment le bonheur ? Certains diront « c’est porter mon enfant dans mes bras !» pour d’autres, cela prendra la forme d’une nouvelle voiture, et d’autres enfin, pensent atteindre ce bonheur dans une activité passionnante, un repas entre amis, l’aisance financière, la reconnaissance professionnelle, etc….
Le monde nous offre parfois tout cela, et pourtant, ceux qui ont « tout » ne sont pas forcément heureux, et ceux qui n’ont « rien » disent parfois jouir d’un bonheur infini ! Mais alors, de quoi parlons-nous ?
L’homme apparaît pour certains comme une version évoluée de l’animal. En effet, nous possédons une triple organisation cérébrale : un cerveau dit « primitif » ou « reptilien » pour les fonctions de survie primaire, complété ensuite par un cerveau dit « émotionnel » qui a permis à nos ancêtres de mieux vivre en société, en se liant autrement que par le seul instinct de reproduction. Finalement, et plus récemment, c’est un cerveau dit « NOUVEAU » (Néocortex) qui a donné à l’homme des notions plus abstraites comme la conscience de soi et des autres, mais également une perception plus affinée et plus analytique du monde extérieur. Le but restant tout de même de rendre notre instinct de survie plus efficace et plus agréable ! C’est peut-être ce qu’on pourrait appeler l’intelligence?
La question est : Pourquoi le monde aujourd’hui, avec cette intelligence et une civilisation dite supérieure, connaît autant de conflits, de maladies, de peurs, de famine, d’inégalité, de souffrances, d’insécurité, d’intolérance… ? Pourquoi ne sommes-nous pas encore capables d’atteindre ce bonheur tant recherché ? Pourquoi, selon les sondages, plus le monde évolue dans sa technologie, son relationnel, son offre matérielle, plus l’humanité se dit malheureuse ? Bien loin de cette image idéale de bonheur que notre nature évoluée semblerait nous avoir promis…
Revenons au corps : Il faut savoir que notre biologie, notre physiologie (Echange et régulation du corps), a tout prévu pour que nous puissions ressentir le bonheur en nous : Ocytocine, sérotonine, dopamine…. Des neurotransmetteurs ou des hormones dont le rôle et de faire ressentir au corps le sentiment en adéquation avec son environnement. Ces substances biochimiques sont « ordonnées » par le cerveau lorsque celui-ci perçoit son environnement comme bénéfique, c'est-à-dire en adéquation avec ses envies, ses désirs, eux même étant le reflet des ses mémoires et croyances, en relation avec son expérience passée, son éducation, ses conditionnements, sa culture, ses traumatismes….
Une fois la scène « perçue », elle doit être « vécue » et c’est donc un largage hormonal qui va provoquer cet état de ressenti agréable que l’on appelle bien-être ou bonheur. Mais il dépend donc, de ce que l’on pense avoir besoin en l’instant T. C’est donc souvent un bonheur fugace, lié à un plaisir transitoire. Car ce sentiment de bonheur dépend de ce que l’on croit bon pour nous. Il s’agit donc d’un bonheur relatif à notre programme intérieur, et totalement subjectif ! Notre quête du bonheur dépend totalement de notre filtre inconscient !
Mais alors, tous ces actes, ses désirs à la recherche de ce bonheur subjectif, n’ont-t-ils pas un socle commun, un fondement plus profond ? En prenant de la hauteur, avec un autre regard plus global, ne pourrait-on pas trouver là un semblant d’objectivité ?
Que recherche-t-on, réellement, au travers de tous ces « petits bonheurs », auxquels on s’accroche au gré de notre chemin de vie ?
Le VRAI bonheur, celui que nous recherchons sans même le savoir, n’est-il pas un sentiment profond de PAIX intérieure, intime, immuable, infinie, autonome, puissante par sa seule existence ? Un sentiment de bien-être intérieur qui ne dépend de rien, totalement absolu en lui-même, n’ayant besoin d’aucun support pour exister et perdurer…
Car finalement, en tant qu’individu cheminant dans une vie aléatoire, tout ce que nous recherchons au travers tous ces biens matériels, ces relations, ces situations, c’est la PAIX, se sentir infiniment en PAIX ! Cette PAIX « racine » ne serait-elle pas notre seul besoin fondamental ?
Une nouvelle voiture comble notre besoin de reconnaissance, de sécurité, de confort, de liberté… Danser nous offre la possibilité de satisfaire notre besoin de bouger, de se détendre, de s’amuser, de créer, d’exprimer… Manger nous permet de nous remplir et de nous apaiser par un plaisir temporaire gustatif et de satiété, et donc, se cache derrière cet acte anodin, un besoin de se sentir « nourri », en sécurité, calme… « Nourri » prenant ici un sens tout autre et bien plus vaste que ce que l’on a l’habitude de penser.
Mais qu’ont en commun toutes ces émotions, ces plaisirs ? COMBLER NOS BESOINS, qu’ils soient du domaine physique, émotionnel, énergétique, spirituel… pour enfin combler le seul BESOIN RACINE sous-jacents à tous les autres : se sentir en PAIX, dans sa totale COMPLÉTUDE intérieure… Ne serait-ce pas là, le vrai GRAAL !
Mais alors, ce bonheur infini et total ne devrait-il pas passer par une meilleure connaissance de soi, et de notre relation au monde ? Par exemple, apprendre à mieux connaître ses besoins apparaît, possiblement, comme un pas de géant vers la porte du bonheur. Il nous faudrait pour cela, découvrir ou redécouvrir nos besoins. Les regarder en face, les accueillir, les accepter, les analyser, peut-être les prioriser ou même les trier ! Afin d’aller à l’essentiel de nos besoins fondamentaux en évinçant ceux qui nous ont été induit par des notions ou des peurs erronées provenant de nos conditionnements et croyances.
Nous ne pouvons pas faire l’économie, au travers d’un éveil de conscience judicieusement utilisé, d’une compréhension de ce que peuvent être nos besoins fondamentaux et originels, en dehors de ceux qui, plus instantanés et conditionnés, nous éloignent d’une sobriété naturelle.
Une fois ce travail effectué, il nous faudra repartir sur de nouvelles bases en conscientisant nos besoins essentiels et en cherchant, comme une quête, à les rassasier, toujours en conscience du besoin fondamental qui se cache sous l’action ou l’objet lui même, et toujours avec amour et bienveillance envers nous et notre évolution.
Combler nos besoins c’est faire sentir à notre corps animal, qu’il est entendu, écouté, qu’il peut maintenant ressentir de la sécurité et du relâchement. Le stress n’est ni plus ni moins qu’un besoin non assouvi! C’est lorsque tous les besoins sont comblés, que se réalise une annihilation total du stress physiologique et psychologique. Il s’accompagne d’un détachement libérateur, laissant toute liberté à notre soi profond, conscient et sage de reprendre le gouvernail du navire ! Cap sur le bonheur !
C’est donc un long cheminement inconscient qui remonte à notre conscience, et qui nous demande d’aller vers ce qui nous fait RÉELLEMENT du bien. Chercher ce qui colmate nos failles, ce qui comble notre enfant intérieur de plaisir, d’attention et de sécurité. Cela passe par la recherche d’outils, de méthodes, de compréhension, de situations, de liens, de partages, d’apprentissages, de guidances, d'entraînements… Mais la peine en vaut la chandelle !
C’est donc un travail global que nous devons entreprendre et c’est dans ce sens que notre centre UNIS-VERS LES GRANDS PRES, comme beaucoup d’autres, de par le monde, a pour vocation de vous offrir l’opportunité de trouver, près de chez vous, l’humanisme, les compétences, et les outils pour combler chacun de vos besoins !
L’accompagnement HOLISTIQUE (du grec HOLOS : complet entier…) prend tout son sens au sein de notre équipe de professionnels!
Redevenez l’observateur conscient et sage de votre globalité et permettez-vous d’en approcher les failles pour mieux la guider vers une complétude absolue et immuable qu’on appelle le bonheur…
Vous souhaitant de belles et grandes découvertes intérieures !
A bientôt
Valérie JAUVIN (NATIIVE)
Holothérapeute